Paroles de chansons
Paroles et extraits MP3 de quelques chansons qui
accompagnent sur ce site l'histoire de "Manon et moi"
Parce que tout a commencé par un duo karaoké, parce que nos références musicales étaient les mêmes et que du début à la fin, toute notre histoire a été bercée par les chansons de ces artistes...
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Extrait mp3 (152 Ko) | Lien avec l'histoire
Il manque un temps à ma vie
Il manque un temps, j'ai compris
Il me manque toi
Mon alter ego
Tu es parti mon ami
Tu m'as laissé seul ici
Mais partout tu me suis
Mon alter ego
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où tu te caches
Laisse-moi deviner
Dans mon coeur rien ne change
T'es toujours là, mon ange
Il manque ton rire à l'ennui
Il manque ta flamme à ma nuit
C'est pas du je
Mon alter ego
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où tu te caches
Laisse-moi deviner
T'es sûrement baie des anges
Sûrement là-bas, mon ange
Sûrement là-bas
Sûrement là-bas
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où que tu sois
Je voudrais que tu saches
Dans mon coeur rien ne change
T'es toujours là, mon ange
Il manque un temps à ma vie
Il manque ton rire, je m'ennuie
Il me manque toi, mon ami...
Vivant poème
(Jean-Louis Aubert - reprise de Barbara)
Extrait mp3 (282 Ko) | Lien avec l'histoire
Va,
Ce monde je te le donne
Va, jamais n'abandonne
Vrai qu'il n'est pas à l'image
Des rêves des enfants de vos âges
Je sais,
Le monde a des accents
Comme nous, le monde se défend
Mais il t'aime comme tu l'aimes
Alors... faudra bien que tu l'aimes
Tu en es le vivant poème
Pars,
Le monde est un espoir
L'espoir jamais ne l'abandonne
Oui le monde est notre histoire
De matins clairs et de nuits noires
Je sais que le monde a des armes
Qui souvent nous désarment
Mais il t'aime comme tu l'aimes
Alors... faudra bien que tu l'aimes
La vie est un poème
Que tu écriras toi-même
Pars,
Ce monde va le voir
Va, jamais ne perds l'espoir
Oui, dans ce monde va te voir
Traverse, traverse les miroirs
Je sais que le monde a des dents
Comme nous, le monde se défend
Mais il t'aime comme je t'aime
Alors... faudra bien que tu l'aimes
La vie est un poème
C'est un long... je t'aime
Un vivant poème
Que tu finiras toi-même
Tu es le vivant poème
Tu es le vivant poème...
Voilà, c'est fini
(Jean-Louis Aubert)
Extrait mp3 (136 Ko) | Lien avec l'histoire
Voilà, c'est fini
On a tant ressassé les mêmes théories
On a tellement tiré chacun de nôtre côté
Que voilà c'est fini
Trouve un autre rocher petite huître perlée
Ne laisse pas trop couler de temps sous ton p'tit nez
Car c'est fini...c'est fini
Voilà, c'est fini
On va pas s'dire au revoir comme sur le quai d'une gare
J'te dis seulement bonjour et fais gaffe à l'amour
Voilà, c'est fini
Aujourd'hui ou demain c'est l'moment ou jamais
Peut être après demain je te retrouverai
Mais c'est fini...hum, c'est fini
J'ai fini par me dire qu'on éviterait le pire
Qu'il fallait mieux couper plutôt que déchirer...
J'ai fini par me dire que p't'être on va guérir
Et que même si c'est non, et que même si c'est con
Tous les deux nous savons que de toutes façons...
Voilà, c'est fini
Ne sois jamais amère, reste toujours sincère
T'as eu c'que t'as voulu, même si t'as pas voulu c'que t'as eu
Voilà, c'est fini
Nos deux mains se desserrent de s'être trop serrées
La foule nous emporte chacun de nôtre côté
C'est fini...hum c'est fini
Voilà, c'est fini
Je ne vois plus au loin que ta chevelure nuit
Même si je m'aperçois que c'est encore moi qui te suis
C'est fini...hum, c'est fini...
Non,
je n'ai rien oublié
(Charles Aznavour)
Extrait mp3 (749 Ko) | Lien avec l'histoire
Je n'aurais jamais cru qu'on se rencontrerait
Le hasard est curieux, il provoque les choses
Et le destin pressé un instant prend la pose
Non je n'ai rien oublié
Je souris malgré moi, rien qu'à te regarder
Si les mois, les années marquent souvent les êtres
Toi, tu n'as pas changé, la coiffure peut-être
Non je n'ai rien oublié
Marié, moi ? allons donc, je n'en ai nulle envie
J'aime ma liberté, et puis, de toi à moi
Je n'ai pas rencontré la femme de ma vie
Mais allons prendre un verre, et parle-moi de toi
Qu'as-tu fait de tes jours ? es-tu riche et comblée ?
Tu vis seule à Paris, mais alors ce mariage ?
Entre nous, tes parents ont dû crever de rage
Non je n'ai rien oublié
Qui m'aurait dit qu'un jour sans l'avoir provoqué
Le destin tout à coup nous mettrait face à face
Je croyais que tout meurt avec le temps qui passe
Non je n'ai rien oublié
Je ne sais trop que dire, ni par où commencer
Les souvenirs foisonnent, envahissent ma tête
Et le passé revient du fond de sa défaite
Non je n'ai rien oublié, rien oublié
A l'âge où je portais que mon coeur pour toute arme
Ton père ayant pour toi bien d'autres ambitions
A brisé notre amour et fait jaillir nos larmes
Pour un mari choisi sur sa situation
J'ai voulu te revoir mais tu étais cloîtrée
Je t'ai écrit cent fois, mais toujours sans réponse
Cela m'a pris longtemps avant que je renonce
Non je n'ai rien oublié
L'heure court et déjà le café va fermer
Viens, oui viens je te raccompagne à travers les rues mortes
Comme au temps des baisers qu'on volait sous ta porte
Non je n'ai rien oublié
Chaque saison était notre saison d'aimer
Et nous ne redoutions ni l'hiver ni l'automne
C'est toujours le printemps quand nos vingt ans résonnent
Non je n'ai rien oublié, rien oublié
Cela m'a fait du bien de sentir ta présence
Je me sens différent, comme un peu plus léger
On a souvent besoin d'un bain d'adolescence
C'est doux de revenir aux sources du passé
Je voudrais, si tu veux, sans vouloir te forcer
Te revoir à nouveau, enfin... si c'est possible
Si tu en as envie, si tu es disponible
Si tu n'as rien oublié
Comme moi qui n'ai rien oublié
L'amour gardé secret
(Daniel Balavoine)
Extrait mp3 (368 Ko) | Lien avec l'histoire
Si ta tête ne peut plus tenir
Si tes lèvres tremblent pour lui dire
Ce que j'ai de mieux en moi
C'est toi
Quand la porte va s'ouvrir
Ces mots simples vont tout définir
Tout l'amour que je te donne
Me vient de toi
L'amour gardé secret ne sert à rien
Je le savais bien
Tout cacher en soi est une fin
L'amour gardé secret ne sert à rien
S'offrir est un bien
Le silence est ton propre venin
Si tes yeux sentent une douleur
N'aies pas peur
Dans le malheur
Même les hommes pleurent
Même les hommes pleurent
Peu importe ce qu'elle te répond
Le savoir vaut mieux qu'une illusion
Accepter sans comprendre
C'est la raison
L'amour gardé secret ne sert à rien
Et tu le sais bien
Tout cacher en soi est une fin
L'amour gardé secret ne sert à rien
S'offrir est un bien
Le silence est ton propre venin
Si tu sens pencher ton coeur
N'aies pas peur
Dans le malheur
Même les hommes pleurent
Dans le malheur
Même les hommes pleurent
Dans le malheur
Même les hommes pleurent
Me laisse pas m'en aller
(Daniel Balavoine)
Extrait mp3 (151 Ko) | Lien avec l'histoire
Et si tu m'aimes
Si c'est un problème
Je reste quand même
Pour te câliner
Et si j'ai de la fièvre
Je m'endors sur tes lèvres
Et je vide mes peines
En baisers salés
Et si mes larmes te gênent
Me laisse pas m'y noyer
Et toutes mes souffrances
Salissent ta présence
Tu te lèves en silence
Pour mieux me protéger
Me laisse pas m'en aller
Me laisse pas m'en aller
Et devant tes souffrances
Je rêve de puissance
Et la pluie recommence
A mouiller mes souliers
Je t'interdis de me regarder
Quand je commence à pleurer
Et si je t'aime
Si c'est un problème
Tu restes quand même
Pour tout pardonner
Comme un chien de faïence
Ma pauvre défaillance
Se perd et se balance
Pour finir à tes pieds
Et si tes larmes me gênent
Je viendrai m'y noyer
Et toutes mes souffrances
Salissent ta présence
Tu te lèves en silence
Pour mieux me protéger
Me laisse pas m'en aller
Me laisse pas m'en aller
Et revient, revient l'impuissance
Quand s'écroule Byzance
Tu te lèves en silence
Pour me recouronner
Et si tu crois que je peux régner
Me laisse pas m'en aller
Et ta seule insolence
C'est de me faire confiance
Un peu de ton absence
Est une infirmité
Je te laisserai pas t'en aller
Si tu m'laisses pas m'en aller
Je te laisserai pas t'en aller
Si tu m'laisses pas m'en aller...
Extrait mp3 (175 Ko) | Lien avec l'histoire
J't'invite
Viens voir dans mon enfance
Tu verras qu'tu avais rencard
Au fond rien n'est dû au hasard
J't'invite
C'est comme une évidence
On s'espérait sans trop y croire
Dans désespoir, y'a espoir
On n'est jamais vraiment seul
Quelqu'un attend toujours ailleurs
Dans une autre ville, une autre vie
Juste à l'heure (à l'heure)
Pour partager tout, tout partager tout
Pardonner, donner sans la moindre peur
On est seul'ment riche de ce qu'on sait
Et si beau de l'intérieur
Pour partager tout, tout partager tout
Vouloir s'envoler à deux, vers les hauteurs
Comme pour tutoyer la liberté
(Un) Rendez-vous avec un autre soi, juste à l'heure
J't'invite
Viens dans mon univers
Tu verras qu'tu connais déjà
On revit mais on n'vit qu'une fois
J't'invite
Sur un p'tit bout de terre
Où tu s'ras tell'ment, tel qu'en toi
Sans limite, imite toi
On n'est jamais vraiment seul
Quelqu'un attend toujours ailleurs
Dans une autre ville, une autre vie
Juste à l'heure (à l'heure)
Pour partager tout, tout partager tout
Pardonner, donner sans la moindre peur
On est seul'ment riche de ce qu'on sait
Et si beau de l'intérieur
Pour partager tout, tout partager tout
Vouloir s'envoler à deux, vers les hauteurs
Comme pour tutoyer la liberté
(Un) Rendez-vous avec un autre soi, juste à l'heure...
Extrait mp3 (300 Ko) | Lien avec l'histoire
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon coeur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre... l'inaccessible étoile
J'te mentirais
(Patrick Bruel)
Extrait mp3 (144 Ko) | Lien avec l'histoire
J'te mentirais
Si j'te disais qu' j'y ai pas pensé
Si j'te disais qu' j'ai pas voulu
Retenir le nom de sa rue
Si j'te disais,
Mon amour, que j'ai rien senti,
Rien entendu de ces non-dits
Qu'à ses silences, j'ai pas souri
J'te mentirais, j'te mentirais
Vite, je tombe
Est-ce que tu m' regarderas ?
Est-ce que tu seras en bas
Pour m'emmener là où je n' sais pas
Là où je n' vais pas ?
Alors, vite, je tombe
Comme un pantin sans fil
Trop libre et trop fragile
Je cherche ta main dans les nuages
Pour chasser son image
J'te mentirais
Si j'te disais au fond des yeux
Que tes larmes ont tort de couler
Que cette fille ne fait que passer
J'te mentirais
Et pourtant moi, j' me suis menti
De nous croire tellement à l'abri
De nous voir plus fort que la vie
Mais ces choses-là, on ne les sait pas
Vite, je tombe
Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'attendras
Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me ramener vers toi ?
Alors, vite, je tombe comme un pantin sans fil
Notre histoire qui défile
Je cherche ta main dans les nuages
Pour pas tourner la page
J'te mentirais
Mais à qui d'autre pourrais-je le dire
Sans cette fois vraiment te trahir ?
Le silence est parfois pire
Vite, je tombe
Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'ramasseras
Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me ramener vers toi ?
Alors, vite, je tombe
Comme un oiseau voleur
Touché là, en plein coeur
Et qui se demande encore pourquoi
Il est passé par là...
Au bout de la marelle
(Patrick Bruel)
Extrait mp3 (149 Ko) | Lien avec l'histoire
Un...
Ça commence, comme un rêve
Un premier rire, un rien,
Ton regard qui se lève
Deux...
On est déjà plus forts
À quatre mains, bien sûr,
On joue d'autres accords
Trois...
Entre nous deux, tu glisses
Un berceau plein de lune,
Une envie qui hésite
Quatre...
La valse irrégulière...
On cherche la mesure
Pour un temps, on s'y perd
Au bout de la marelle,
On sait pas ce qu'on verra...
Elle nous paraît si belle, d'en bas
À cloche-pied vers le ciel,
À pieds joints, toi et moi,
On tombe ou on avance d'un pas...
On y va
Cinq...
Sur toi la main posée
Te protège et m'invite
À ne pas trop douter
Six...
Semaines sans te voir
Première déchirure
Faut-il toujours savoir
Sept...
Vies à vivre ensemble
Est-ce qu'on joue assez juste
Pour qu'elles nous ressemblent
Huit...
En haut de cette échelle
C'est écrit à la craie
Huit lettres pour "jeu t'aime"
Mais au bout de la marelle,
On verra ce qu'on verra...
Elle nous paraît si belle, comme ça
À cloche-pied vers le ciel,
À pieds joints, toi et moi,
Et surtout pas regarder en bas,
Surtout pas
Bien sûr on sait qu'un jour, la pluie pourrait tomber
Mais la pluie c'est peu dire, alors on s'est regardés
Un rayon de soleil se pointe au coin de la rue
Un fou rire, un éclair, alors... On continue
Neuf...
Mois pour lui choisir
Un prénom, un ou une,
Neuf mois pour devenir...
Une...
Autre vie, d'autres mots
Pour quelques boucles brunes
Tout repart à zéro
Mais au bout de la marelle,
On sait pas ce qu'on verra...
Elle nous paraît si belle, d'en bas
À cloche-pied vers le ciel,
À pieds joints, on y va...
On tombe ou on avance d'un pas
On y va... Un, deux, trois...
Extrait mp3 (173 Ko) | Lien avec l'histoire
On est tout seul quand on a mal... bien sûr,
Quand on dégueule le bleu trop pâle des murs
Cette douleur qui te serre et moi qui peux rien faire
Ce silence... j' te connais bien, tu dis tellement... tellement...
Quand tu dis rien
Parle-moi... même si je sais tout déjà
Parle-moi... de tout, de rien, mais de toi
Et même si t'as encore envie de pleurer
Si t'as encore envie de te tailler la peau
Si tu crois plus en rien, même plus en tes mots
Parle-moi... me laisse pas, te laisse pas...
On était fous, on était forts, on riait d' tout, même de la mort
Toi qui rêvais plus haut que moi
Toi qui savais c' qu'on n'apprend pas
A qui tu vas faire croire que t'es au bout d' la route ?
A qui tu vas faire croire que tu lâches, que tu doutes ?
Que tu veux plus te battre, que ton corps te dégoûte ?
Pas à moi, non, non, pas à moi... rappelle-toi... rappelle-toi...
Je t'arracherai d'ici, je casserai toutes les portes,
J'irai crier partout qu' c'est la mort qui est morte !
On partira chasser les nuages et les filles,
On les fera danser, on piquera tout c' qui brille.
Alors si t'as encore envie de pleurer
Et si tu veux tomber à genoux pour prier,
Je prierai avec toi ces dieux que je déteste
Pour que tu restes, pour que tu restes... pour que tu restes...
Pardonne-moi, je m'égare... mais tout me fait peur ce soir
Le temps d'apprendre, le temps d'aimer, faut tout rendre, tout laisser
A qui tu vas faire croire que t'es au bout d' la route ?
Que tu lâches, que tu doutes ?
Que ton corps te dégoûte ? Pas à moi...
J'entends... ton coeur qui bat...
C'est plus fort... c'est plus fort que ça...
Parle-moi... j'entends... ton coeur qui bat...
C'est plus fort... c'est plus fort que ça...
Lâche pas... t'es plus fort que ça...
Mais pars pas... pars pas... pars pas...
Extrait mp3 (113 Ko) | Lien avec l'histoire
Il y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...
Si tu vois,
Flotter une larme bohème
Dans les yeux, mon coeur s'y promène
C'est alors je pense à toi
C'est comme ça,
Le bonheur n'est pas géomètre
J'ai pas de plans à te soumettre,
Je sais pas le faire marcher droit
M'en veux pas
Si je ne peux rien te promettre
C'est que je voudrais tout peut-être
Et ça ne me suffirait pas
Pas à pas
Je parle à tâtons et j'effleure
Tous ces mots qui reprennent couleur
Quand je les pose sur toi
Et je vois
Les rêves qui hésitent encore
Prendre la forme de ton corps
Et je souris malgré moi
Jusque-là
J'croyais à peu près me connaître
J'ai tout jeté par ta fenêtre
Pour mieux m'apprendre dans tes bras
M'en veux pas
Si je ne sais rien te promettre
À part dans ces phrases muettes
Que je vagabonde sur toi
Laisse-moi le temps de t'aimer sans penser au-delà
Tu me souris et tu te tais, mais tu ne comprends pas...
Laisse-moi, le temps de trouver l'empreinte pour mes pas
À force de t'avoir cherchée, j'ai un peu peur de moi
Peur de moi...
Est-ce que ce n'est pas autre chose
Tu m'apprivoises et je dépose
Mes ombres fanées derrière moi
Peur de quoi
Peur de l'avenir qui se glisse
Entre ma peau et mes caprices
Quand je me perds au bord de toi
Peur de quoi
Tout simplement de reconnaître
Que tout est là, dans ces peut-être
Qui me chavirent autour de toi
Peur de moi...
Il n'y a rien d'autre à comprendre
Toi tu voulais des mots plus tendres,
Et moi... Je te parle de moi
Il y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...
Et que dans tous ces mots-là...
Extrait mp3 (342 Ko) | Lien avec l'histoire
Je vais t'attendre au coin d'la rue
À l'heure où les lumières s'éteignent
Quand tu auras trop dansé, trop bu
À l'heure où ne restera plus
Que mon bras pour poser ta peine,
On partira ensemble une fois de plus
Tu m'embrasseras comme je déteste,
Avec cette tendresse que tu mets si bien
Entre toi et moi
Bien sûr que le temps a passé,
Que notre histoire est terminée...
Peut-être, mais peut-être pas pour moi
Même si je sais que tout s'efface
Tu reste là et rien ne passe...
Tu m'aimes bien, je t'aime tout court
La différence s'appelle l'amour
Trois jours d'périph, fenêtre ouverte
J'vois passer c'qu'on aurait pu être
Oui, je t'en veux, mais moins qu'à moi
Et puis pourquoi m'avoir rappelé
Pourquoi me revenir me chercher
Pour te voir rire, te voir sans pleurer sans moi...
Tu veux pas d'moi, tu veux pas m'perdre,
Alors ce choix, j'le fais pour toi
C'est moi qui pars
Même si je sais que tout s'efface
Tu reste là et rien ne passe...
Tu m'aimes bien, je t'aime tout court
La différence s'appelle l'amour
Même si je sais que tout s'efface
Tu le disais, chacun sa place...
Tu m'aimes bien, je t'aime tout court
La différence s'appelle l'amour
Laisse-moi venir de temps en temps
Laisse-moi me dire qu'c'est comme avant...
Laisse-moi partir, même si je mens,
Laisse-moi me dire qu'avec le temps...
Même si je sais...
Au milieu des autres
(Calogero)
Extrait mp3 (71 Ko) | Lien avec l'histoire
Je partage la vie des gens
Je partage la même histoire de fous
Je n'me sens pas différent du tout
Je fais partie du décor
Je n'ai ni privilège ni fortune
Rien ne me distingue sous la lune
Comment faire briller mon âme
Comment marcher sur les flots
Me réveiller un matin contre ta peau...
Au milieu des autres
Au milieu des autres
Je penche au milieu des autres
Pour que tu me vois
Je penche au milieu des autres
Je partage les apparences
Mais toi seule sait faire la différence
Je ne me sens plus pareil du tout
Ma vie se désynchronise
Je dérive au fil de l'eau
Pour que tu me localises
Sur mon radeau
Au milieu des autres
Au milieu des autres
Je penche au milieu des autres
Pour que tu me vois
Je penche au milieu des autres
Comment faire briller mon âme
Comment marcher sur les flots
Me réveiller un matin contre ta peau
Contre ta peau...
Je penche
Au milieu des autres
Au milieu des autres
Je penche
Au milieu des autres
Pour que tu te penches sur moi
Au milieu des autres
Je vois que tu vas pencher pour moi
Au milieu des autres
Je penche
Au milieu des autres
Pour toi
Au milieu des autres
Tu penches
Au milieu des autres
Pour moi...
Extrait mp3 (403 Ko) | Lien avec l'histoire
Dire...
Même écrire
Raconter
Est-ce qu'il faudrait ne jamais rien garder...
Dire...
Même le pire
Avouer
Nos fautes en sont-elles pardonnées, après
Quand on dit la vérité
Et qui sait...
Si les mots pouvaient tout arranger
Les bleus, les traces
Du temps passé
Dire que tu ne m'as jamais rien dit
Moi j'ai préféré n'jamais rien savoir
Pour toujours y croire
Dis que tu ne m'as jamais rien fait
Mais toutes tes larmes,
Et tous les regrets
Me suffiraient pour t'aimer
Vivre...
Ce qu'on doit vivre
Affronter
C'qu'on a jamais envie d'entendre, on sait...
Suivre
Sa dérive
Préserver...
Ce qu'il reste d'amour et qui était
La seule histoire à suivre
Et qui sait
Si la fièvre pouvait nous rapprocher
Dans nos silences et nos excès
Dire que tu ne m'as jamais rien dit...
J'aurais préféré toujours te garder
Même jusqu'à saigner
Dire que je ne t'ai jamais rien fait...
Et toutes mes larmes
Et tous mes regrets
Ne suffiront pour t'aimer
Toutes mes larmes
Tous mes regrets
Ne suffiront...
Extrait mp3 (180 Ko) | Lien avec l'histoire
Je n'aurais peut-être pas dû vous l'avouer
Moi qui vous aimais en silence
Vague trop longtemps retenue, tout a changé
Vous avez repris vos distances
J'ai caché ma peine
Au long des semaines
J'ai tout essayé
Pour vous oublier
Mais j'ai beau nier...
Que je t'aime, je t'aime
Et même lointaine
Je t'aime, je t'aime
Je t'aime quand même
Pour vous j'ai mis mon coeur à nu, presque étonné
D'avoir osé cette indécence
Vous étiez si tendre et j'ai cru vous deviner
Sous le voile de l'indifférence
J'ai caché ma peine
Au long des semaines
J'ai tout essayé
Pour vous oublier
Mais j'ai beau nier...
Que je t'aime, je t'aime
Et même lointaine
Je t'aime, je t'aime
Je t'aime quand même
J'ai caché ma peine
Au long des semaines
J'ai tout essayé
Pour vous oublier
Et j'ai beau nier...
Que je t'aime, je t'aime
Et même lointaine
Je t'aime, je t'aime
Je t'aime quand même...
Je vis où tu m'as laissé
(Calogero)
Extrait mp3 (161 Ko) | Lien avec l'histoire
Bien sûr
On peut se croire
A l'abri de tout
Tranquille
Suivant la file
Qui est devant vous
Bien sûr
On peut vouloir
Une autre issue
L'histoire
Comme par hasard
N'en dira pas plus
Je vis où tu m'as laissé
Comme étranger à moi même
L'amour à perpetuité
Je m'étais pris à en rêver
J'en suis où tu m'as laissé
C'est une absence qui m'enchaine
Les pieds et les poings liés
Je m'étais pris dans tes filets
Bien sûr
Tout ca n'arrive
Qu'à votre insu
Le pire
N'est même pas le pire
Qu'on avait prévu
Bien sûr
Je garde un espoir
Perdu
Histoire
De mettre en mémoire
Ce qui n'est plus
Je vis où tu m'as laissé
Comme étranger à moi même
L'amour à perpetuité
Je m'étais pris à en rêver
J'en suis où tu m'as laissé
C'est une absence qui m'enchaine
Les pieds et les poings liés
Je m'étais pris dans tes filets
L'histoire
N'en dira pas plus...
Je vis où tu m'as laissé
Comme étranger à moi même
L'amour à perpetuité
Je m'étais pris à en rêver
J'en suis où tu m'as laissé
C'est une absence qui m'enchaine
Les pieds et les poings liés
Je m'étais pris dans tes filets
Je vis où tu m'as laissé
Comme étranger à moi même
Comme étranger à moi même
Fais-moi une place
(Julien Clerc)
Extrait mp3 (117 Ko) | Lien avec l'histoire
Fais-moi une place
Au fond d' ta bulle
Et si j' t'agace
Si j'suis trop nul
Je deviendrai
Tout pâle, tout muet, tout p'tit
Pour que tu m'oublies
Fais-moi une place
Au fond d' ton coeur
Pour que j' t'embrasse
Lorsque tu pleures
Je deviendrai
Tout fou, tout clown, gentil
Pour qu' tu souris
J' veux qu' t'aies jamais mal
Qu' t'aies jamais froid
Et tout m'est égal
Tout, à part toi
Je t'aime
Fais-moi une place
Dans ton av'nir
Pour que j'ressasse
Moins mes souvenirs
Je s'rai jamais
Eteint hautain lointain
Pour qu'tu sois bien
Fais-moi une place
Dans tes urgences
Dans tes audaces
Dans ta confiance
Je s'rai jamais
Distant, distrait, cruel
Pour qu' tu sois belle
J' veux pas qu' tu t'ennuies
J' veux pas qu' t'aies peur
J' voudrais qu' tu oublies
L' goût du malheur
Je t'aime
Une petite place
Ici, maintenant
Car le temps passe
À pas d' géant
Je me ferai
Tout neuf, tout beau, tout ça...
Pour être à toi
Qui sait ?
(collectif anti-sida)
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Qui sait, qui sait
J'aurais peut-être un jour besoin de ça
D'une main douce et puissante
Qui sait, qui sait
D'un chemin plus sûr où poser mes pas
Pour une guerre non-violente
Tout seul j'irai pas plus haut, peut-être plus bas
Peut-être plus bas
Qui sait, qui sait
J'aurai sans doute un jour besoin de toi, de toi
Si je ne suis plus le même
Qui sait, qui sait
On se dit toujours qui vivra verra
Et moi, j'aimerai voir comme on s'aime
Apprends-moi
Que donner c'est recevoir en plus fort
Si je me fais attendre
Rappelle-moi que toutes les vies se valent encore
Les petites, les grandes
Qui sait, qui sait
J'aurais peut-être un jour besoin de secours
Un jour
Où je n'aurai plus personne
Qui sait, qui sait
Une douce phrase dans un matin sourd
Qui court
Un petit feu pour les hommes
Who knows, one day
I'll be need your smile to colore my name
My pain
If I can't see any rainbow
Qui sait, qui sait
L'aube d'un regard qui ne juge pas, non pas
Mais qui partage les peines
Apprends-moi
Que donner c'est recevoir du soleil
Sans qu'on ne le demande
Rappelle-moi que toutes les vies se valent pareilles
Les petites, les grandes
Qui sait, qui sait
J'aurais peut-être un jour besoin de ça
Qui sait
Qui sait ce qu'on sera
Qui sait, qui sait
J'aurais peut-être un jour besoin de ça
Qui sait
Qui sait ce qu'on sera
Who knows, one day
I'll be need to know you'll always be there
Qui sait
Qui sait ce qu'on sera
Qui sait, qui sait
D'un chemin plus sûr où poser mes pas
Qui sait, qui sait
Qui sait ce qu'on sera...
Against
all odds
(Phil Collins)
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Toujours
dans mon coeur
(Phil Collins)
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Oublie ton chagrin
Surtout ne crains rien
Je prends en main ton destin
Lorsque le danger te menacera
Je serai là avec toi
Tu es si forte et si fragile
Viens dans mes bras je te ferai une île
Ce lien qui nous lie ne cassera pas
Ne pleure pas, je suis là
Car tu vis dans mon coeur
Oui tu vis dans mon coeur
Dès maintenant jusqu'à la nuit des temps
Tu vis dans mon coeur
Qu'importe le discours
Tu vivras dans mon coeur,
Toujours...
(...toujours...)
Quelqu'un
qui m'ressemble
(Etienne Daho)
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On s'ressemble, c'est fou c'qu'on ressent
Du moins c'est ce qu'il me semble, on s'ressemble
On est bien ensemble et quoiqu'on en pense
Etre ensemble en confidence est pure chance
On s'ressent, c'est à n'y rien comprendre
Tant on se ressemble, on s'ressent
Qui s'ressemble se rassemble, qui s'ressemble s'assemble
J'cherchais partout quelqu'un qui m'ressemble
On s'ressemble, c'est fou c'qu'on ressent
Du moins c'est ce qu'il nous semble, on s'ressemble
Et puis se confondre, à la nuit se fondre
Seul dans cet hôtel à Londres, me morfondre
Plus de comptes à rendre, ne plus se surprendre
Ailleurs se méprendre, se détendre
Qui s'accorde se raccorde et se désaccorde
Chercher ailleurs quelqu'un qui t'ressemble
Plus de comptes à rendre, ailleurs se méprendre
Même ailleurs s'éprendre, s'en défendre
Qui s'ressemble se rassemble et se désassemble
S'casser ailleurs faire c'que bon me semble
Mais tu r'viens...
Ça va
pas changer le monde
(Joe Dassin)
Extrait mp3 (399 Ko) | Lien avec l'histoire
C'est drôle, tu es partie,
Et pourtant tu es encore ici,
Puisque tout me parle de toi
Un parfum de femme, l'écho de ta voix
Ton adieu, je n'y crois pas du tout,
C'est un au revoir, presqu'un rendez-vous...
Ça va pas changer le monde,
Il a trop tourné sans nous.
Il pleuvra toujours sur Londres...
Ça va rien changer du tout
Qu'est-ce que ça peut bien lui faire,
Une porte qui s'est renfermée?
On s'est aimés, n'en parlons plus,
Et la vie continue...
Ça va pas changer le monde
Que tu changes de maison.
Il va continuer, le monde,
Et il aura bien raison.
Les poussières d'une étoile,
C'est ça qui fait briller la voie lactée...
On s'est aimés, n'en parlons plus,
Et la vie continue...
Ça va pas changer le monde,
Ça va pas le déranger.
Il est comme avant, le monde,
C'est toi seule qui as changé.
Moi, je suis resté le même,
Celui qui croyait que tu l'aimais...
C'était pas vrai, n'en parlons plus,
Et la vie continue
J'en
rêve encore
(Gérald de Palmas)
Extrait mp3 (174 Ko) | Lien avec l'histoire
Encore un effort
Quelques mois suffiront
Je suis presque mort
Quelques mois et c'est bon
Supprimer les traces la moindre trace
Ce qu'il reste de candeur
Un morceau de glace à la place du ceur
Et même si je m' améliore
Oh j'en rêve encore
Même cassé, ivre mort
Oh j'en rêve encore
Encore, encore
Ne plus rien sentir
Inconscient, minéral
Plus le moindre désir
Plus de peur ni de mal
Mais même si je m' améliore
Oh j'en rêve encore
Même en sachant que j'ai tort
Oh j'en rêve encore
Encore, encore
Vivant mais mort
N' être plus qu'un corps
Que tout me soit égal
Plus de mal
Et même si je m' améliore
Ton absence qui me mord,
Oh j'en rêve encore, encore,
Ton départ et mes remords,
Oh j'en rêve encore
Son corps à lui dans ton corps,
Oh j'en crève encore
Encore, encore, encore...
Rien ne
doit jamais
(Gérald de Palmas)
Extrait mp3 (167 Ko) | Lien avec l'histoire
Rien, rien ne doit jamais
Te forcer à rester
Ne fuis pas la vérité
Non, ne change jamais
L'amour en amitié
Viens je vais t'aider...
Tu
ne me dois rien
(Stephan Eicher)
Extrait mp3 (115 Ko) | Lien avec l'histoire
Je ne t'entends pas très bien, il y a si longtemps
D'où m'appelles tu d'où vient
ce besoin si pressant de m'écouter soudain
Les poules auraient-elles des dents...
Ma voix t'a-t-elle manqué, après bientôt un an?
Ce serait une belle journée, et il n'y en a pas tant
Je sais me contenter de petites choses à présent
On enterre ce qui meurt, on garde les bons moments
J'ai eu quelquefois peur que tu m'oublies vraiment
Tu as sur mon humeur encore des effets gênants
Mais tu ne me dois rien
J'ai eu un mal de chien
A me faire à cette idée
A l'accepter enfin
Est-ce qu'au moins tu m'en sais gré ?
Chacun poursuit son chemin
Avec ce qu'on lui a donné
Mais toi tu ne me dois rien
Tu ne m'as pas dérangé, je vis seul pour l'instant
Mais je ne suis pas pressé, tu sais, je prend mon temps
Tout est si compliqué, tout me parait si différent
On ne refait pas sa vie, on continue seulement
On dort moins bien la nuit, on écoute patiemment
De la maison les bruits, du dehors l'effondrement
Je vais bien cela dit, appelle moi plus souvent
Si tu en a envie, si tu as un moment
Mais il n'y a rien d'écrit, et rien ne t'y oblige vraiment...
Jamais
nous
(Elsa - en duo avec Laurent Voulzy)
Extrait mp3 (139 Ko) | Lien avec l'histoire
Les mensonges qui rongent
Les couteaux dans ldos en cadeau
Ce sra jamais nous
Toutes ces histoires de fous
Les paroles de haine
Les mauvais poèmes qui sapprennent par ceur
Les chansons violons
Le jeu des sept erreurs
Ce sra jamais nous
Les trahisons par ambition
Les faux semblants les faux serments
Ce sra jamais nous
Les ptits sourires pour mieux mentir
Les grandes histoires damour dun soir
Ce sra jamais nous
Jsuis là pour personne
Sonne le téléphone sonne toujours
Ce sra jamais nous
Ces jalousies damour
Ces roman-photos
Ces histoires mélo qui sont toutes les mêmes
On la dit trop dit
Me dis jamais je taime
Ce sra jamais nous
Les larmes aux yeux les souvenirs
Les mots dadieu qui font souffrir
Ce sra jamais nous
Ce sra pareil mais autrement
Côté soleil et sentiment
Ce sra toujours nous
Extrait mp3 (128 Ko) | Lien avec l'histoire
Je le sens
Je le sais
Quand t'as mal à l'autre bout de la terre
Quand tu pleures pendant des heures
Sur mon coeur je pourrais hurler
Le jurer même si je ne vois rien
D'où je suis je sens ton chagrin
Quand je me vois
Sans tes mains
Sans tes bras je ne peux plus respirer
Et j'entends si souvent
Le chant du vent
Qui vient pour me ramener
Vers tes landes sous ton ciel d'Irlande
Quitter ma vie sans préavis
Je le ferai
Si tu m'aimes
Même si j'ai tort
Tout est plus fort
Que la raison tout est plus fort que ton nom
Que je redis que j'écris sans arrêt
Sur les écrans de ma vie
Et j'espère que chacunes des aurores
Que je vois me mènera à ton corps
Je quitterai tout
Si tu m'aimes
Je sais que je n'me trompe pas
Que quelque part au loin là-bas
Tu penses encore à moi
Tu m'as gardé dans tes bras
Une place, un ébat
Dis-le moi tout bas
Que tu m'aimes
Que tu m'aimes...
Je le sens
Tu penses encore à moi
Je le sais, tu m'as gardé tes bras
Dis-le moi
Que tu m'aimes...
Dis-moi
pourquoi
(Michel Fugain)
Pas d'extrait mp3 ! | Lien avec l'histoire
Dis-moi pourquoi on rit
Dis-moi pourquoi on pleure
Pourquoi on vit et on meurt
Dis-moi pourquoi depuis
Tant de jours et tant de nuits
Je t'aime
Dis-moi pourquoi j'y crois
Dis-moi pourquoi, pourquoi pas
Dis-moi pourquoi dans son grand ciel tout vide
Un Dieu nous a fait toi et moi
Dis-moi pourquoi l'univers se déride
Quand tu souris comme ça
Je te regarde même quand je dors
Dis-moi pourquoi je t'aime
Et si fort
Dis-moi pourquoi j'y crois
Dis-moi pourquoi, pourquoi pas
Dis-moi pourquoi je me sens lamentable
Si tu me dis à demain
Pourquoi j'ai eu cette idée formidable
De passer sur ton chemin
Je te retrouve même quand je dors
Dis-moi pourquoi je t'aime
Et si fort
Je sais pourquoi je ris
Je sais pourquoi je pleure
Pourquoi je vis et je meurs
C'est parce que depuis
Tant de jours et tant de nuits
Je t'aime
Je sais pourquoi j'y crois
C'est parce que tu es là
Extrait mp3 (153 Ko) | Lien avec l'histoire
Encore cent fois vivre d'amour,
Cent fois tomber, renaître,
S'aimer comme au premier jour,
Se détruire peut-être
Nos regards qui se dévorent,
Ton parfum qui m'enflamme,
Et ma peau qui te réclame
Pour que l'on puisse encore
S'envoyer dans les étoiles,
S'envoler jusqu'au final,
Dans un ultime corps à corps,
D'l'amour comme ça, j'en veux encore
Faire d'un lit un champ d'honneur,
À nous exploser le coeur
De la petite à la vraie mort,
D'l'amour comme ça, j'en veux encore
Encore cent fois boire au ruisseau,
Du plaisir et des larmes
S'aimer vivant, presque trop,
Sans peur et sans armes
Et si je tombe à genoux,
Fou d'amour et sans honte,
Je serai au bout du compte
Bien plus grand que debout
Faire l'amour comme un cadeau
Et monter toujours plus haut
comme un outrage à Dieu qui dort
D'l'Amour comme ça, j'en veux encore
Tout donner sans retenir
À la terre qui va s'ouvrir,
comme le ventre d'où je sors
D'l'amour comme ça, j'en veux encore...
Sous
le vent
(Garou & Céline Dion)
Extrait mp3 (228 Ko) | Lien avec l'histoire
Et si tu crois que j'ai eu peur, c'est faux
Je donne des vacances à mon coeur, un peu de repos
Et si tu crois que j'ai eu tort, attends
Respire un peu le souffle d'or qui me pousse en avant, et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand'voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Sous le vent
Et si tu crois que c'est fini, jamais
C'est juste une pause, un répit après les dangers
Et si tu crois que je t'oublie, écoute
Ouvre ton corps aux vents de la nuit, ferme les yeux, et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand'voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Sous le vent...
Bonne
idée
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (132 Ko) | Lien avec l'histoire
Un début de janvier, si j'ai bien su compter
Reste de fête ou bien voeux très appuyés
De Ruth ou de Moïshé, lequel a eu l'idée ?
Qu'importe j'ai gagné la course, et parmi des milliers
Nous avons tous été vainqueurs, même le dernier des derniers
Une fois au moins les meilleurs, nous qui sommes nés
Au creux de nos mères qu'il fait bon mûrir
Et puis j'ai vu de la lumière alors je suis sorti
Et j'ai dit
Bonne idée
Y'avait du soleil, des parfums, de la pluie
Chaque jour un nouveau réveil, chaque jour une autre nuit
Des routes et des motards et des matches de rugby
Des spaghetti, Frédéric Dard et Johnny Winter aussi
On m'a dit c'est qu'une étincelle avant l'obscurité
Juste un passage, un arc-en-ciel, une étrange absurdité
Des frères, des tendres, des trésors à chercher
Des vertiges à prendre, à comprendre et des filles à caresser
J'me suis dit
Bonne idée
Et puis y'a toi qui débarque en ouvrant grand mes rideaux
Et des flots de couleurs éclatent et le beau semble bien plus beau
Et rien vraiment ne change mais tout est différent
Comme ces festins qu'on mange seul ou en les partageant
Je marchais au hasard le soir était tombé
Avec mon sac et ma guitare j'étais un peu fatigué
Tout était si désert, où me désaltérer ?
Et puis j'ai vu de la lumière et je vous ai trouvés
Bonne idée...
Confidentiel
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (248 Ko) | Lien avec l'histoire
Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront prés de moi sur mon chemin
Te dire que c'était pour de vrai
Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait
Que c'était pas pour de faux, que c'était bien
Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné
Tous ces moment, tous ces mêmes matins
Je vais pas te dire que faut pas pleurer
Y a vraiment pas de quoi s'en priver
Et tout ce qu'on a pas loupé, le valait bien
Peut-être que l'on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu'ici bas, je suis là
Ça restera comme une lumière
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s'éteint pas
Ensemble
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (457 Ko) | Lien avec l'histoire
Souviens-toi
Etait-ce mai, novembre, ici ou là ?
Etait-ce un lundi ?
Je ne me souviens que d'un mur immense
Mais nous étions ensemble
Ensemble, nous l'avons franchi
Reviens-moi
De tes voyages si loin
Reviens-moi
Tout s'ajoute à ma vie
J'ai besoin de nos chemins qui se croisent
Quand le temps nous rassemble
Ensemble, tout est plus joli
Je ne me souviens que d'un mur immense
Mais nous étions ensemble
Ensemble, nous l'avons franchi...
Je
voudrais vous revoir
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (212 Ko) | Lien avec l'histoire
Cette lettre peut vous surprendre
Mais sait-on ? peut-être pas
Quelques braises échappées des cendres
D'un amour si loin déjà
Vous en souvenez-vous?
Nous étions fous de nous
Nos raisons renoncent, mais pas nos mémoires
Tendres adolescences, j'y pense et j'y repense
Tombe mon soir et je voudrais vous revoir
Nous vivions du temps, de son air
Arrogants comme sont les amants
Nous avions l'orgueil ordinaire
Du "nous deux c'est différent"
Tout nous semblait normal, nos vies seraient un bal
Les jolies danses sont rares, on l'apprend plus tard
Le temps sur nos visages a soumis tous les orages
Je voudrais vous revoir et pas par hasard
Sûr il y aurait des fantômes et des décors à réveiller
Qui sont vos rois, vos royaumes ? mais je ne veux que savoir
Même si c'est dérisoire, juste savoir
Avons-nous bien vécu la même histoire ?
L'âge est un dernier long voyage
Un quai de gare et l'on s'en va
Il ne faut prendre en ses bagages
Que ce qui vraiment compta
Et se dire merci
Pour ces perles de vie
Il est certaines blessures au goût de victoire
Et vos gestes, y reboire
Tes parfums, ton regard
Ce doux miroir où je voudrais nous revoir...
L'absence
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (243 Ko) | Lien avec l'histoire
Le tango lent de ton sang dans mes veines
J'entends battre ta vie plus que la mienne
Quand la nuit rapproche ceux qui sont loin
Le matin prend ma place et je m'éteins
Nulle envie, nulle pensée pour personne
L'absence a tout pris, que l'on me pardonne
Quand on n'est même plus la moitié d'un
Comme un billet déchiré ne vaut rien
Les saisons ne sont plus que de passage
Les couleurs ont déserté mes images
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras...
Les
murailles
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (91 Ko) | Lien avec l'histoire
Géantes ces murailles bâties de pierre et de sang
Plus hautes que les batailles, défiant le poids des ans
Aujourd'hui quatre vents feraient s'envoler ces tours
Et l'on jurait avant que ça durerait toujours
Corons, terrils au nord, litanie des paysages
Aux vivants comme aux morts, la mine histoire et langage
Ce charbon peine et chance, chaque mineur l'a vécu
Mais un jour ce silence, oh pas un ne l'aurait cru
Et j'avais fait des merveilles en bâtissant notre amour
En gardant ton sommeil, en montant des murs autour
Mais quand on aime on a tort, on est stupide, on est sourd
Moi j'avais cru si fort que ça durerait toujours
J'avais cru si fort que ça durerait toujours
Nous
ne nous parlerons pas
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (218 Ko) | Lien avec l'histoire
J'ai bien reçu tous vos messages
Je vous ai lu page après page
Je sais vos hivers et vos matins
Et tous ces mots qui vous vont si bien
En quelques phrases, en quelques lettres
Il me semble si bien vous connaître
On écrit bien mieux qu'on ne dit
On ose tout ce que la voix bannit
Mais vous désirez me rencontrer
Et moi, j'ai si peur de tout gâcher
Nos confessions, nos complicités
Comment garder tout ça sans rien casser
Nous ne nous parlerons pas
Nous oublierons nos voix
Nous nous dirons en silence
L'essentiel et l'importance
Utilisons nos regards
Pour comprendre et savoir
Et le goût de notre peau
Plus loquace que des mots
Nos bras ne tricheront pas
Nos mains ne mentiront pas
Mais surtout, ne parlons pas
Je connais un endroit charmant
Très à la mode et très bruyant
De ces endroits où les solitudes
Se multiplient dans la multitude
On n'a qu'une envie, c'est d'en sortir
Vous n'aurez besoin que d'un sourire
Je comprendrai qu'il est déjà tard
Nous irons boire un verre autre part
Nous ne nous parlerons pas
Nous oublierons nos voix
Nous nous dirons en silence
L'essentiel et l'importance
Utilisons nos regards
Pour comprendre et savoir
Et le goût de notre peau
Plus loquace que des mots
Nos bras ne tricheront pas
Nos mains ne mentiront pas
Mais surtout, ne parlons pas
Nous ne nous parlerons pas...
Puisque
tu pars
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (413 Ko) | Lien avec l'histoire
Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus hautes que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton cur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
L'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison
Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
J'aurai pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait
J'aurai pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez...
Tournent
les violons
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (115 Ko) | Lien avec l'histoire
Grande fête au château il y a bien longtemps
Les belles et les beaux, nobliaux, noble sang
De tout le royaume on est venu dansant
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
Grande fête aux rameaux et Manon a seize ans
Servante en ce château comme sa mère avant
Elle porte les plateaux lourds à ses mains d'enfant
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
Le bel uniforme, oh le beau lieutenant
Différent des hommes d'ici blond et grand
Le sourire éclatant d'un prince charmant
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
Redoublent la fête et les rires et les danses
Manon s'émerveille en
remplissant les panses
Le bruit, les lumières, c'est lui qui s'avance
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
En prenant son verre auprès d'elle il se penche
Lui glisse à l'oreille en lui frôlant la hanche
"Tu es bien jolie" dans un divin sourire
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
Passent les années dures et grises à servir
Une vie de peine et si peu de plaisir
Mais ce trouble là brûle en ses souvenirs
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
Elle y pense encore et encore et toujours
Les violons, le décor, et ses mots de velours
Son parfum, ses dents blanches, les moindres détails
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
En prenant son verre auprès d'elle il se penche
Lui glisse à l'oreille en lui frôlant la hanche
Juste quatre mots, le trouble d'une vie
Juste quatre mots qu'aussitôt il oublie
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
Elle y pense encore et encore et toujours
Elle y pense encore et encore et toujours
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons
Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et
s'en vont
Tournent les vies oh tournent les violons...
Tu
manques
(Jean-Jacques Goldman)
Extrait mp3 (143 Ko) | Lien avec l'histoire
Y a des qualités de silence
Comme les étoffes ou le bois,
Des profonds, des courts, des immenses,
Des que l'on n'entend presque pas
Coule la pluie, cheveux et veste,
Mouille ce qui ne pleure pas,
Marcher le long de rues désertes
Où tu me manques pas à pas
Tu manques, si tu savais.
Tu manques tant,
Plus que je ne l'aurais supposé,
Moi qui ne tiens pas même au vent
Prendre un taxi, tourner des pages,
Féliciter, battre des mains,
Faire et puis refaire ses bagages
Comment allez-vous ?, à demain
On apprend tout de ses souffrances
Moi, j'ai su deux choses, après toi :
Le pire est au bout de l'absence
Je suis plus vivant que je crois
Tu manques, si tu savais
Infiniment, tout doucement,
Plus que je ne me manque jamais
Quand je me perds de temps en temps
Danger, dit-on : la lune est pleine
Est-elle vide aussi parfois ?
Invisible, à qui manquerait-elle ?
Peut-être à d'autres, pas à moi
Tu manques, si tu savais
Tu manques drôlement
Tu m'manques...
J'oublierai
ton nom
(Johnny Halliday - en duo avec Carmen)
Extrait mp3 (127 Ko) | Lien avec l'histoire
De semaines inutiles en futiles dimanches,
De secondes immobiles aux aiguilles qui penchent,
J'oublierai ton nom
De quatre nouveaux murs dans un autre quartier,
De panneaux de peinture en meubles à installer,
J'oublierai ton nom
De la piste suante à la dernière danse,
De quelques nuits de feu aux matinées de cendres,
De cette agitation dénuée de tout sens,
Du fond de ma raison jusqu'à mon inconscience,
De la main d'un ami au baiser d'une bouche,
Tous ceux qui sauront lire que le mal a fait mouche,
J'oublierai ton nom
J'oublierai ton nom
De mille facons
Et cette certitude
Me fait plus mal encore
J'aimais cette blessure
C'etait toi, encore
I know it's been tough
I've hurt you enough
But you'll never see
That I must be free
Forget my name
You'll find someone, somewhere,
All your troubles to share
She'll wipe out the past
And feel at last
Forget my name
All the good and the bad times
We've ever had
Will seem so far away
You'll wonder why
You were sad
There's hundreds of ways
To kill away the time
That's how you are made
You know you'll never be mine
De la main d'un ami
Au baiser d'une bouche,
Tous ceux qui sauront lire
Que le mal a fait mouche,
J'oublierai ton nom
De mille facons
Et cette certitude
Me fait plus mal encore
J'aimais cette blessure,
C'était toi, encore
J'oublierai ton nom
De mille facons,
Pour les mêmes raisons qui m'ont fait t'aimer
Parce qu'il fallait bien vivre avant d'oublier
J'oublierai ton nom
De mille facons
Et cette certitude
M'est la pire des morts
J'aimais cette blessure
C'était toi, encore...
Marie,
prends ton temps
(Les Innocents)
Extrait mp3 (241 Ko) | Lien avec l'histoire
Marie, prends ton temps
Sache que j'attends
Et que rien
Ne nous presse
Rien d'important
Alors Marie, prends ton temps
D'hivers en printemps
Je serai ton gardien
Ton espèce
Ton seul habitant
Marie ma douce, mon enfant
Je comprends que tu veuilles attendre, encore
Le monde est parfois si griffant
Qu'y jeter le fruit de son corps
Est une sérieuse affaire
Aussi laissons les années faire
Marie, prends ton temps
Puisque je t'attends
Et que ton éclat,
Mon ivresse,
Se moquent bien du temps
Marie ma douce, mon enfant
Je sais qu'il te faut de l'argent, encore
Que tu trouverais étouffant
De vivre auprès de moi, d'accord
Si c'est le prix de ta jeunesse
Que Dieu bénisse ta sagesse
Je sais que tu as rendez-vous
Que tes minutes comptent plus que l'or
Aussi pour ce moment si doux
Merci Marie, merci encore
Après tout il y a 18 ans
Moi je n'en espérais pas tant
Marie, prends ton temps
Toujours souviens-t'en
Puisque rien
Ne nous presse
Rien d'important
Marie, prends mon temps
D'hivers en printemps
Mes sentiments
A ton adresse
Sont si résistants
Marie, prends ton temps...
Je
voulais te dire que je t'attends
(Michel Jonasz)
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Je mettrai mon coeur dans du papier d'argent,
Mon numéro d'appel aux abonnés absents
Mes chansons d'amour resteront là dans mon piano
J'aurai jeté la clé du piano dans l'eau
J'irai voir les rois de la brocante
"Vendez mon coeur trois francs cinquante"
Tu savais si bien l'écouter
Que ma vie s'est arrêtée
Quand tu m'as quitté
Je voulais te dire que je t'attends
Et tant pis si je perds mon temps
Je t'attends, je t'attends tout le temps
Sans me décourager pourtant
Comme quelqu'un qui n'a plus personne
S'endort près de son téléphone,
Et sourit quand on le réveille
Mais ce n'était que le soleil
L'autre jour, j'ai vu quelqu'un qui te ressemble
Et la rue était comme une photo qui tremble
Si c'est toi qui passe le jour où je me promène,
Si c'est vraiment toi, je vois déjà la scène
Moi, je te regarde
Toi, tu me regardes
Je voulais te dire que je t'attends
Et tant pis si je perds mon temps
Je t'attends, je t'attends tout le temps,
Ce soir, demain, n'importe quand
Comme quelqu'un qui n'a plus personne
S'endort près de son téléphone
Et qui te cherche à son réveil,
Tout seul au soleil, j'attends
Je voulais te dire que je t'attends
Si tu savais comme je t'attends !
Je t'attends, je t'attends tout l'temps
Quand seras-tu là ? Je t'attends
Si tu savais comme je t'attends !
Je t'attends, je t'attends tout l'temps
Je voulais te dire que je t'attends...
Chanson
pour l'instant
(Francis Lalanne)
Extrait mp3 (355 Ko) | Lien avec l'histoire
Quand une étoile filante passe
dans le ciel, faut fermer les yeux
et faire un vu. Parce que cest beau,
cest beau à voir une étoile filante. Mais ça sen va comme cest
venu
|
Ne me dis pas Ne me dis pas Tu mtrahiras Tu partiras Ne me dis pas |
Ne me dis pas Qutu sras fidèle tout ltemps Jten dmande pas tant Jten dmande pas tant Jvoudrais seulment Qutu sois à moi vraiment Un ptit moment Un ptit moment Tu reviendras Tu resteras Ne me dis pas Ne me dis pas Un ptit moment |
D'aventure
en aventure
(Serge Lama)
Extrait mp3 (103 Ko) | Lien avec l'histoire
Bien sûr, j'ai d'autres certitudes, j'ai d'autres habitudes
Et d'autres que toi sont venues, les lèvres tendres, les mains nues
Bien sûr
Bien sûr j'ai murmuré leurs noms
J'ai caressé leur front
Et j'ai partagé leurs frissons
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore
Bien sûr, du soir au matin, blême
Depuis j'ai dit : " je t'aime "
Et d'autres que toi sont venues
Marquer leurs dents sur ma peau nue
Bien sûr
Bien sûr pour trouver le repos
J'ai caressé leur peau
Elles m'ont même trouvé beau
Bien sûr j'ai joué de mes armes, j'ai joué de leurs larmes
Entre le bonsoir et l'adieu, souvent pour rien, souvent par jeu
Bien sûr
Bien sûr, j'ai redit à mi-voix
Tous les mots que pour toi
J'ai dit la première fois
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Parce que je t'aime
Je t'aime encore
Je t'aime encore
Je t'aime encore...
Extrait mp3 (107 Ko) | Lien avec l'histoire
Tu viens comme dans un rêve
Et tu t'endors tout contre moi
Comme le jour qui se lève
Dans mon coeur quand j'ai un peu froid
Tu souris, et rien n'est plus tendre alors
Que le vent et la pluie
Qui glissent sur ton corps
Si la nuit te fait peur
Seule tout au fond de ton coeur
Si tu cherches un ami, pense à moi
Je n'serai jamais loin de toi
Et même si c'est toutes les nuits
Si je dois passer ma vie
A te consoler, je serai là
Je n'serai jamais jamais loin de toi
Tu vis comme dans mon rêve
Tu te réveilles tout contre moi
Chaque jour qui se lève
Me fait douter mais tu es là
A jamais dans mes joies, dans mes désirs
Pour toujours je voudrais caresser ton sourire
Et même si tu cries si tu pleures
Même si les hommes te font peur
Si leur folie t'enchaîne les bras
Je n'serai jamais loin de toi
Et même si demain tu m'oublies
Si tu rêves d'une autre vie
Tu peux partir là où tu voudras
Je n'serai jamais jamais loin de toi
Si la nuit te fait peur
Seule tout au fond de ton coeur
Si tu cherches un ami pense à moi
Je n'serai jamais loin de toi
Et même si demain tu m'oublies
Si tu rêves d'une autre vie
Tu peux partir là où tu voudras
Je n'serai jamais jamais jamais loin de toi
Tu peux partir là où tu voudras
Je n'serai jamais jamais loin de toi...
Il
faut du temps
(Pascal Obispo)
Extrait mp3 (152 Ko) | Lien avec l'histoire
Donne-moi des nouvelles de nous
Tu vois rien ne tient plus debout
Donne-moi les règles du jeu
A quoi on joue tous les deux
Je passe mes jours à te chercher
Tu cherches encore à m'éviter
Je parle mais je parle à personne
Dis-moi où nous en sommes
Nous contenter de peu
Ce n'est pas c'qu'on a fait de mieux
Il faut du temps
Mais avons-nous le coeur assez grand
Qu'est-ce qu'on attend
Pour changer tout
J'veux des nouvelles de nous
On s'accroche au meilleur au fond
On s'attache à c'qu'il reste de bon
Des photos et des vieilles chansons
Mais c'est plus comme avant
Toi tu sais tout c'qu'il reste de nous
Qui pourrait appeler ça d'l'amour
Des étrangers, c'est c'qu'on devient
Dis est-ce que tu y tiens
Nos leurres, nos différents
Je t'en demandais pas autant
Il faut du temps
Mais avons nous le coeur assez grand
Qu'est-ce qu'on attend
Pour changer tout
J'veux des nouvelles de nous
Il faut du temps
Un peu d'espoir
Pour changer l'histoire
Qu'est-ce qu'on attend
Même s'il faut du temps
J'veux des nouvelles de nous
Qu'est-ce qu'on devient
Est-ce qu'on y peut rien
Est-ce qu'on y prend goût
Qu'est-ce qui nous tient
Qu'est-ce qui est bien
J'veux des nouvelles de nous
Le
meilleur reste à venir
(Pascal Obispo)
Extrait mp3 (112 Ko) | Lien avec l'histoire
Où est l'amour
Qu'on nous avait promis
On y pense un jour
Puis on oublie
L'envie passe comme les heures
J'ai beau chercher ailleurs
Je ne vois toujours rien venir
Où sont les hommes
Qui nous faisaient rêver
De révolutions, d'éternels étés
On nous parle
Du monde à l'envers
De ce monde à refaire
Mais ce monde meilleur
Reste à venir
Le meilleur de toi-même
A l'avenir
Le meilleur de nous-même
On évitera le pire
Aujourd'hui
Mieux vaut se dire
Qu'le meilleur reste à venir
Par quelle épreuve
Faut-il encore passer
Sur quelle route jamais tracée
J'oublierai nos doutes
Et mes peines
Au fond de moi je sais
Qu'même si nos rêves
N'ont plus pied
Le meilleur reste à venir
Le meilleur de toi-même
A l'avenir
Le meilleur de nous-même
On évitera le pire
Aujourd'hui
Mieux vaut se dire
Qu'le meilleur reste à venir
Le meilleur reste à venir
Le malheur ennemi juré
A l'avenir
J'avoue c'est décidé
Si tu restes à mes côtés
La vie vaut bien de meilleures
Promesses d'avenir
On a tant d'histoires à écrire
Tant de rêves à venir
Mieux vaut laisser le pire
Loin derrière nous
Derrière nous
Le meilleur reste à venir
Le meilleur de toi-même
A l'avenir
Le meilleur de nous-même
On évitera le pire
Aujourd'hui
Mieux vaut se dire
Qu'le meilleur reste à venir
Le meilleur reste à venir
Le malheur ennemi juré
A l'avenir
J'avoue c'est décidé
Si tu restes à mes côtés
La vie vaut bien de meilleures
Promesses d'avenir...
Extrait mp3 (521 Ko) | Lien avec l'histoire
Lucie, Lucie c'est moi je sais,
Il y a des soirs comme ça où tout...
S'écroule autour de vous
Sans trop savoir pourquoi toujours
Regarder devant soi
Sans jamais baisser les bras, je sais...
C'est pas le remède à tout,
Mais 'faut se forcer parfois...
Lucie, Lucie dépêche toi, on vit,
On ne meurt qu'une fois...
Et on n'a le temps de rien,
Que c'est déjà la fin mais...
C'est pas marqué dans les livres,
Que le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour
Le temps c'est de l'amour...
Même, si je n'ai pas le temps,
D'assurer mes sentiments...
J'ai en moi, oh de plus en plus fort,
Des envies d'encore...
Tu sais, non, je n'ai plus à coeur,
De réparer mes erreurs ou de,
Refaire c'qu'est plus à faire
Revenir en arrière...
Lucie, Lucie t'arrête pas, on ne vit
Qu'une vie à la fois...
A peine le temps de savoir,
Qu'il est déjà trop tard...
Mmmm, Lucie, j'ai fait le tour,
De tant d'histoires d'amour.
J'ai bien, bien assez de courage,
Pour tourner d'autres pages, sache...
Que le temps nous est compté
Faut jamais se retourner en se disant,
Que c'est dommage,
D'avoir passé l'âge
Lucie, Lucie t'encombre pas
De souvenirs, de choses comme ça.
Aucun regret ne vaut le coup
Pour qu'on le garde en nous...
C'est pas marqué dans les livres,
Que le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour
Le temps c'est de l'amour
De l'amour...
Sa
raison d'être
(Pascal Obispo)
Extrait mp3 (204 Ko) | Lien avec l'histoire
Elle en a vu de toutes les douleurs
Elle est revenue de tant de combats
Elle a tellement tendu son coeur
Là où d'autres ont baissé les bras
Elle dit qu'après certains regards
Les mots deviennent dérisoires
On fait les choses parce qu'elles s'imposent
Sans se demander pourquoi
C'est peut-être
Une goutte d'eau dans la mer
C'est peut-être
Une goutte d'eau dans le désert
Oui mais c'est sa raison d'être
Sa raison d'être...
Oh, elle en a essuyé des yeux
Elle en a baissé des paupières
Oubliant même que le ciel est bleu
A tant se pencher dans la poussière
Elle dit qu'on peut toujours trouver
Des excuses pour ne pas bouger
Elle, elle préfère encore se taire
Et faire ce qu'elle a à faire
C'est peut-être
Une goutte d'eau dans la mer
C'est peut-être
Une goutte d'eau dans le désert
Oui mais c'est sa raison d'être
Sa raison d'être...
Oh, elle en a brisé des silences
Poussé des cris contre les murs
Avec pour échos l'indifférence
Et des rancunes encore plus dures
Car aujourd'hui, si l'existence ici
Ne se limite qu'à la survie
Il faut savoir qu'une aile de papillon
Peut tout changer pour de bon
C'est peut-être... une goutte d'eau dans la mer
C'est peut-être... Une goutte d'eau dans le désert
Oui mais c'est sa raison d'être
Sa raison d'être...
Bien
sûr qu'il n'y a rien à dire
(Florent Pagny)
Extrait mp3 (343 Ko) | Lien avec l'histoire
Bien sûr qu'il n'y a rien à dire
Les jours et se suivent et l'amour ne se ressemble pas
Ça je l'savais déjà
Le vie prend sa place et regarde le temps qui passe
Bien sûr on continue à vivre
Et l'avenir s'ouvre à nous comme un pays nouveau
Et "tout nouveau, tout beau"
Il paraît qu' c'est bien de r'partir à zéro
J'sais pas si c'est bien, j'sais pas si ce s'ra mieux
J'sais pas si comme ça on s'ra plus heureux
J'sais qu'on en avait besoin, qu'il fallait pour nous deux
Qu'il fallait qu'on y arrive même si j'en avais pas envie
Je sais c'est la vie qui choisit
Bien sûr qu'il n'y a rien à dire
Fais bon voyage et sois fière d'être dans ta peau
Nous deux c'est toujours beau
Oublie les histoires qu'on raconte dans mon dos
Les souvenirs vont nous accompagner
Pour habiller ces heures où le goût du passé
Viendra nous caresser
Pour ne pas oublier qu'un jour on s'est aimés
C'est vrai qu' c'était bien c'est vrai qu' c'était pas un jeu
Même la fin on s'la fait dans les yeux
Bonne nuit à demain on va vieillir un p'tit peu
Voir si la vie a bien choisi
Et si l'amour devient l'ami des mauvais jours
Là je t'en prie, rappelle-toi...
Je s'rai toujours là
Si t'as besoin de quelqu'un qui te connaît bien
Mais tout va bien se passer
Fais attention à toi et à bientôt mon p'tit bout...
Bien sûr qu'il n'y a rien à dire...
Comment
je saurai
(Florent Pagny)
Extrait mp3 (318 Ko) | Lien avec l'histoire
Comment est ton amour
Comment est ta peine
Maintenant et toujours
Comment je saurai
Comment est ton ami
Comment est ta peine
Comment t'aimer aussi
Comment je saurai
Et tes yeux à regarder la mer
Tes ombres
Tes ombres, tes lumières
Tes cheveux à épouser la terre
Dis-moi
Comment je saurai
Comment je saurai
Comment je saurai
Comment te devenir
Comment tu voudrais
Comment ne plus te dire
Comment je saurai
Comment te partager
Au chemin que j'avais
Comment te retrouver
Comment je saurai
Et tes rêves à raconter la lune
Tes chacuns
Tes chacuns tes chacunes
Tes doigts qui auront fait fortune
Dis-moi
Comment je saurai
Comment je saurai
Comment est ton amour
Comment est ta peine
Maintenant et toujours
Comment je saurai...
Heureux
de vivre
(Florent Pagny)
Extrait mp3 (143 Ko) | Lien avec l'histoire
Puisqu'un jour il faut partir
S'en aller pour ne jamais revenir
Je veux te dire
Heureux de vivre
Heureux de tout regarder
Heureux d'entendre, heureux de respirer
Malgré le pire
Heureux de vivre
Et je connais la force du vent et la puissance du feu
Et je connais l'amour au fond des yeux
Je peux toucher le velours de ton corps
Je peux dormir, petite mort
Et je connais les couleurs et la valeur du temps
Et je connais le poids des larmes d'enfant
Je peux penser, je peux donc exister
Je peux t'aimer, je peux t'aimer
Puisqu'un jour sans prévenir
Il faudra abandonner ces plaisirs
Plaisir de rire, plaisir de vivre
Plaisir de pouvoir parler
Plaisir de chanter
Plaisir de danser
Pour ton sourire
Heureux de vivre
Et je connais des océans, la folie des volcans
Je connais le pouvoir des sentiments
Je peux te voir et je peux te sentir
Je peux t'aimer sans rien te dire
Et je connais le soleil et la grandeur des cieux
Je te connais et je fais mes aveux
Heureux de vivre pour t'avoir rencontrée
Heureux de dire je vais t'aimer
Puisqu'un jour il faut partir
S'en aller pour ne jamais revenir
Je veux te dire
Heureux de vivre...
Extrait mp3 (169 Ko) | Lien avec l'histoire
Si tu m'vois un jour astiquer mes souv'nirs
Parce que j'verrais plus briller mon av'nir
Si j'refais plus l'monde à chaque fois qu'je bois,
Plus d'moral d'acier dans mes gueules de bois
Tue-moi...
Quand tu commenceras à compter les jours,
Qui séparent les fois où j'te fais l'amour
Si tu me surprends à fermer les f'nêtres
Parce que l'bruit des gosses me montent à la tête
Tue-moi...
Tu m'tueras, si tu t'en vas
Simplement, si tu t'en vas
Si tu m'vois avoir honte de mes anciens copains
Si je serre les fesses plus forts que les poings
Si j'deviens nouveau con et ancien battant
Si j'me révolte plus qu'entre deux calmants
Tue-moi...
Si un jour tu vois que je m'économise
Si j'ai peur d'avoir froid quand j'donne ma chemise
Si tu m'admires plus parce que j'ai peur de t'perdre
Si t'as plus pour moi que cette tendresse de merde
Tue-moi...
Tu m'tueras, si tu t'en vas,
Tout conn'ment, si tu t'en vas,
Qu'est ce qui t'prend où tu vas,
Qu'est ce qui te prends dis, où tu t'en vas,
Où tu vas dis, mais où tu t'en vas
Tu m'tueras, si tu t'en vas, si tu t'en vas,
Oui, si tu t'en vas, tu m'tueras,
Si tu t'en vas, tu m'tueras...
J'ai
jamais dit (je serai ton ami)
(Axelle Red)
Extrait mp3 (154 Ko) | Lien avec l'histoire
J'ai jamais dit je serais ton ami
Qui accepterait ce genre de choses
Et j'ai non plus jamais promis je srai là
A chaque fois que tu claques des doigts
J'ai jamais dit je pouvais être celui
Toujours en train de courir après toi
Et me demande pas d'être aveugle quand je vois
Personne ne peut rester sourd à des cris
Mais qui pourrait accepter
J'aimerais trouver le premier
Et qui pourrait ne pas craquer
Celui qui sait j'voudrais qu'il vienne m'aider
J'ai jamais dit je serais à tes côtés
Si constamment tu fais tout pour m'abaisser
N'attends pas de moi de ne rien sentir quand j'ai mal
Personne n'peut rester sourd à des cris
Mais qui pourrait accepter
Que j'aimerais trouver le premier
Et qui pourrait ne pas craquer
Celui qui sait voudrait-il m'expliquer
Mais qui pourrait accepter
Que j'aimerais trouver le premier
Et qui pourrait n'pas succomber
Celui qui sait voudrait-il m'expliquer
Et celui qui sait ne peut pas aimer
Personne n'peut rester sourd à tout prix
Parce
que c'est toi
(Axelle Red)
Extrait mp3 (305 Ko) | Lien avec l'histoire
Si tu crois un jour quje tlaisserai tomber
Pour un détail pour une futilité
Naie pas peur je saurais bien
Faire la différence
Si tu crains un jour quje tlaisserai fâner
La fin de lété, un mauvais cap à passer
Naie pas peur personne dautre npourrait
Si facilement te remplacer
Oh non pas toi
Vraiment pas toi
Parce que cest toi le seul à qui je peux dire
Quavec toi je nai plus peur de vieillir
Parce que cest toi
Rien que pour ça
Parce que javoue jsuis pas non plus tentée
Drester seule dans un monde insensé
Si tu crois un jour qutout est à refaire
Quil faut changer, on était si bien naguère
Naie pas peur je nveux pas tout compliquer
Pourquoi sfatiguer
Et commence pas à te cacher pour moi
Oh non, je te connais trop bien pour ça
Je connais par coeur ton visage
Tes désirs, ces endroits de ton corps
Qui mdisent encore
Parce que nous cest fort
Parce que cest toi joserais tout affronter
Et cest toi à qui jpourrais pardonner
Parce que cest toi
Rien que pour ça
Parce que cest toi jvoudrais un jour un enfant
Et non pas parce que cest le moment
Je veux te voir dedans
Jverrai dans ses yeux tous ces petits défauts
Parce que parfait nest plus mon créneau
Parce que cest toi
Parce que cest toi le seul à qui jpeux dire
Quavec toi je nai plus peur de vieillir
Parce que cest toi
Rien que pour ça
Parce que javoue jsuis pas non plus tentée
Drester seule dans un monde insensé
Parce que cest toi...
Rien
que d'y penser
(Axelle Red)
Extrait mp3 (164 Ko) | Lien avec l'histoire
Jamais je n'aurais cru te revoir et pourtant...
Sois pas étonné je t'ai reconnu à l'instant...
Comment oublier ce regard qui est le tien...
Qui fait que du coup le passé me revient
Dire que le temps tempère l'amour
Que la distance y met un frein
Rien que d'y penser me chamboule
Rien que d'y penser me fait du bien
Souvent on m'a parlé de toi de ta vie
Il paraît que t'occupes un petit coin de paradis
Est-ce vrai que ta maman t'a quitté l'an dernier
Est-ce vrai que tu regrettes que nous nous soyons manqués
Dire que le temps tempère toujours
Que la distance dénoue les liens
Rien que d'y penser nous chamboule
Rien que d'y penser n'y fait rien
Jamais je n'aurais cru te revoir et pourtant
Sois pas étonné je t'ai reconnu à l'instant
Dire que le temps tempère l'amour
Que la distance y met un frein
Rien que d'y penser me chamboule
Rien que d'y penser en vain
Même si la vie a des remords
Que le destin nous joue des tours
Je sais que j'y penserai encore...
Et qu'on y pensera un jour
Fier et
fou de vous
(William Sheller)
Extrait mp3 (76 Ko) | Lien avec l'histoire
On pourrait croire, qu'on lui fait des misères
A sa façon de pleurer sur mes genoux
Mais j'veux plus être son papa ni son grand frère
C'sont pas des rôles qui j'peux jouer jusqu'au bout
Pas du tout
J'lui dis y'a des gens sur terre
Qui chantent autour de nous
Moi, je n'vois rien, je suis fier
Et je suis fou de vous
Elle s'en fout
Pourtant est-ce que j'peux être plus sincère
J'ai parfois du mal à joindre les deux bouts
Mais depuis l'année où je suis revenu d'la guerre
J'ai jamais manqué à ses rendez-vous
Pas du tout
J'lui dis y'a des gens sur terre
Qui pleurent autour de nous
Moi je n'vois rien, je suis fier
Et je suis fou de vous
Elle s'en fout
Déjà quand elle voulait être écuyère
Elle m'écrivait qu'elle n'était pas bien chez vous
Mais qu'elle n'voulait pas risquer sa vie entière
Sur mon histoire qui n'tenait pas debout
Voyez-vous
J'lui dit y'a des gens sur terre
Qui dansent autour de nous
Moi, je ne vois rien, je suis fier
Et je suis fou de vous
Elle s'en fout...
Un
homme heureux
(William Sheller)
Extrait mp3 (79 Ko) | Lien avec l'histoire
Pourquoi les gens qui s'aiment
Sont-ils toujours un peu les mêmes ?
Ils ont quand ils s'en viennent
Le même regard d'un seul désir pour deux
Ce sont des gens heureux
Pourquoi les gens qui s'aiment
Sont-ils toujours un peu les mêmes ?
Quand ils ont leurs problèmes
Ben y'a rien à dire
Y'a rien à faire pour eux
Ce sont des gens qui s'aiment
Et moi j'te connais à peine
Mais ce s'rait une veine
Qu'on s'en aille un peu comme eux
On pourrait se faire sans qu'ça gêne
De la place pour deux
Mais si ça n'vaut pas la peine
Que j'y revienne
Il faut me l'dire au fond des yeux
Quel que soit le temps que ça prenne
Quel que soit l'enjeu
Je veux être un homme heureux
Pourquoi les gens qui s'aiment
Sont-ils toujours un peu rebelles?
Ils ont un monde à eux
Que rien n'oblige à ressembler à ceux
Qu'on nous donne en modèle
Pourquoi les gens qui s'aiment
Sont-ils toujours un peu cruels ?
Quand ils vous parlent d'eux
Y'a quelque chose qui vous éloigne un peu
Ce sont des choses humaines
Et moi j'te connais à peine
Mais ce s'rait une veine
Qu'on s'en aille un peu comme eux
On pourrait se faire sans qu'ça gêne
De la place pour deux
Mais si ça n'vaut pas la peine
Que j'y revienne
Il faut me l'dire au fond des yeux
Quel que soit le temps que ça prenne
Quel que soit l'enjeu
Je veux être un homme heureux
Je veux être un homme heureux
Je veux être un homme heureux...